Meme si chacun la connaissait pour l’avoir enduré pendant leur carrière, tous les deux à leur facon, viennent d’en eprouver un dernier episode : la dure loi de la vie politique.
D’un coté, le Premier ministre de Grande-Bretagne, Tony Blair, au plus bas dans l’opinion publique, a été poussé vers la porte de sortie par son parti et, dont, il est, pourtant, un héros de sa modernité et de son succès électoral historique. Il a suffi d’un faux pas - son engagement au coté du président américain Bush dans la guerre en Irak - pour signer sa fin et se faire détester. Dure loi…
De l’autre Ségolène Royal, défaite à la présidentielle, déja ’ex’ égérie de la gauche, ‘ex’ madonne ! D’adulée la voilà décriée. A elle et elle seule (le machisme…) la responsabilité de cet échec historique, le troisième consécutif. Ses anciens adversaires pour la candidature du PS ne levèront meme pas le petit doigt pour la sauver. Effet boomerang ? Douce revanche ?
Le plus mauvais exemple de sa déchéance, de cette ‘curée’’, le livre de deux journalistes du monde sur la vie privée du couple Royal. Et dont on se contre fout royalement (pardonnez le jeu de mot). Juste bon pour un feu de cheminée ( mais je crains un odeur nauséabonde)… Dure loi la aussi…
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