vendredi 6 juillet 2007

Débandade...

Débandade : action de se disperser rapidement et dans tous les sens, sauve-qui-peut.

C’est sans aucun doute le mot idoine, soit qui convient le mieux, pour décrire l’état actuel du Parti Socialiste.

Entre Ségolène Royal qui snobe avec ostentation le Conseil National, les élus qui acceptent de serrer la main tendue du ‘’diable (Nicolas Sarkozy dans leur jargon et vision), soit l’ouverture, les tentations cachées de beaucoup d’en faire de même, avec le plus emblématique d’entre eux Jack Lang (‘’mort au traître’’ si personne ne le dit, les intéressés doivent tout de même avoir très mal aux oreilles), Jean-Marc Ayrault qui s’érige en Mac Carthy prêt à exclure tous les félons (à ce rythme le PS devrait connaître une rapide cure d’amaigrissement), qui agrave le mal au lieu de le soigner.

Sans parler des attaques au lance flammes dès le lendemain de la défaite à la présidentielle par Dominique Strauss-Khan et dont maintenant les militants se mordent (très fort) les doigts de ne pas l’avoir désigné comme candidat à l’époque ! Jurant probablement qu’on ne les reprendra plus.

Pour que ce tableau à la Picasso soit complet, il faut rajouter l’offensive de jeunes aux dents longues et avides, la bave aux lèvres, de prendre la relève et mettre au placard les ténors.
C'est à croire que c'est celui sauvera sa peau le plus vite...

Comme disait l’autre va y avoir du sport et ça promet. Qui compte les points et victimes (collatérales) ?

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