vendredi 4 juillet 2008

Ségolène Royal et Peter...

Non ce n'est pas le nouveau compagnon de Ségolène Royal. Un scoop qui aurait le mérite de faire exploser l'audience de mon blog. Ce sera pour une prochaine fois.

Non, Peter dans le monde de l'économie et du travail est connu pour avoir le premier parlé des ''niveaux d'incompétences''. Ainsi, il arrive un moment ou un autre, dans la hiérarchie, qu'une personne, quelque soient ses responsabilités, ses qualités et son talent, atteignent les limites de ses compétences. D'ou de nos jours, pour ''repousser ses limites'', les formations en continue, d'autant plus indispensable dans un monde en perpetuels changements.


Revenons maintenant à l'ex candidate socialiste à la présidentielle.

Ainsi a-t-elle estimé, lors d'un déplacement au Québec, que Sarkozy n'était « absolument pour rien » dans la libération d'Ingrid Betancourt. Au mieux c'est de la mauvaise foi caractérisée. Au pire, c'est l'expression non contenue de l'aversion pour son ancien adversaire et d'une jalousie mal placée.

Au-delà, c'est une phrase malheureuse, totalement intempestive au moment des retrouvailles entre la famille, les proches et Ingrid Betancourt. Et sans conteste largement en deça d'une personnalité qui aspire, tout de même, à diriger la France !


Qui plus est Jean-Pierre Raffarin a raison de rappeler qu'on ne critique pas le Chef de l'Etat à l'étranger. Autrement dit, on ne lave pas son linge sale, plus exactement en l'occurence on ne deverse pas sa bile, en public.

Dans cette affaire et d'autres par le passé, Ségolène Royal a fait la preuve qu'elle atteint son niveau d'incompétence. Elle n'est visiblement pas maître non plus de ses nerfs et de ses sentiments.

Comment parvient-elle à leurrer encore les adhérents et sympathisants du PS ? Comment les médias peuvent-ils à ce point, encore, se montrer aussi tolérants ?

Ségolène Royal doit encore apprendre. Encore et toujours. Elever son niveau de jeu pour espérer se qualifier à nouveau pour la finale.

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